

Dialogue avec les collectifs des docteurs non recrutés : Le ministre Adama Diawara échange avec les sept structures

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Professeur Adma DIAWARA a échangé le vendredi 03 février 2023 à l’auditorium de la primature avec les sept collectifs des docteurs non recrutés, dont celui de Simi Deroux.
Bientôt l’ouverture d’un concours de recrutement dans l’enseignement supérieur
Lors de ces échanges, le ministre Adama Diawara a d’entrée annoncé pour courant premier trimestre de 2023 l’ouverture du concours de recrutement d’assistants, assistants chefs de cliniques, attachés de recherche avec 675 postes à pourvoir. « Cette année 2023, nous allons recruter courant premier trimestre 2023 675 docteurs », a annoncé le ministre. Puis d’ajouter, « Si nous prenons les trois années 2021,2022 et 2023, cela fera environ 2000 docteurs qui seront recrutés. Puisqu’en 2021 nous avons recruté 606, en 2022 651 et 2023 675 ».
« Cette année 2023, nous allons recruter courant premier trimestre 2023, 675 docteurs »
Le ministre a indiqué par ailleurs aux membres des collectifs de docteurs non recrutés les différentes opportunités qui s’offrent à eux hormis le recrutement pour intégrer les universités et grandes écoles publiques.

Quelques propositions du ministre de l’enseignement supérieur Adama Diawarra
Selon le premier responsable de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique,
Les Docteurs non recrutés peuvent entre autres intégrer l’ENS, en sortir professeurs de lycée et par la suite par voie de glissement catégoriel, intégrer l’Enseignement supérieur; ils peuvent enseigner dans les grandes écoles et universités privées; travailler dans des entreprises privées.
« Les Docteurs non recrutés peuvent entre autres intégrer l’ENS, en sortir professeurs de lycée et par la suite par voie de glissement catégoriel, intégrer l’Enseignement supérieur »
Afin de juguler ce problème, le ministre a soutenu qu’une reforme relative aux écoles doctorales est dans le pipe. « Ces écoles permettront aux doctorants qui vont y rentrer, d’en sortir avec une thèse en poche qui soit en adéquation avec la capacité d’absorption du marché de l’emploi », a-t-il dit